Décontamination des eaux et autonomie des peuples locaux.

AIDE À l’EDUCATION ET AU DEVELOPPEMENT LOCAL EN AMERIQUE DU SUD

Un Partage un Sourire un Bonheur vient en aide aux pays d’Amérique du Sud depuis 2014. La priorité est l’aide à l’éducation, au développement local et l’accès à la santé. De nombreux pays du continent sud-américains présentent de gros problèmes de contamination. La multiplication des puits de pétrole (Venezuela, Pérou, Equateur) et des mines conventionnelles et surtout illégales d’or et d’autres minerais (Colombie, Bolivie) ont provoqué la pollution en métaux lourds (Mercure, zinc, plomb, hydrocarbures…) de l’Amazone et de tout ces affluents, où des taux 20 fois plus important que la normale on été relevés. Les terres également, qui pour la plupart sont ancestrales, et appartenant aux peuples indigènes ne sont pas épargnées par ce fléau ainsi que par l’utilisation massive des pesticides (Argentine).

​L’association PSB agi depuis 2014 au Brésil et en Argentine et agira dès 2018 au Venezuela, en Colombie, en Equateur, au Pérou et en Bolivie. Dans chacun de ces pays seront organisés une action d’aide à l’éducation et accès à la santé pour les populations locales en difficultés tout en aidant au développement local grâce notamment à l’exploitation de la Jacinthe d’eau et à la diversification de l’agriculture.                                                                                                                                                            Nous allons donc tout d’abord vous présenter la Jacinthe d’eau et ces bienfaits pour ensuite vous présenter la situation environnementale, éducative et sanitaire des pays de la Cordillère des Andes et de ces peuples locaux souvent délaissés afin de bien définir nos actions d’aide à l’éducation et au développement.  

  1. Le programme de développement local par l’exploitation de la Jacinthe d’eau.

P.S.B. veut trouver une solution pour aider au développement des populations locales. Cela devra se faire tout en respectant leurs cultures, traditions et environnements. Nous avons vu que dans les régions de la cordillère des Andes, de nombreuses terres et courts d’eaux sont contaminés par l’exploitation du pétrole et des minerais. Il est urgent de trouver une solution de dépollution et de traitement des eaux au plus vite. Or une plante originaire de l’ancienne Grande Colombie, la jacinthe d’eau a depuis peu fait parler d’elle. En effet des recherches on prouvée qu’elle a des pouvoirs d’absorption d’hydrocarbure et autres métaux lourds. Et ces caractéristiques ne s’arrêtent pas là. Elle peut servir aussi pour la production de biogaz, et de fertilisant. L’exploitation de la Jacinthe d’eau sera accompagnée par un programme d’amélioration et de diversification de l’agriculture avec potagers, compost, etc.

Présentation de « l’Eichhornia crassipes » dit la Jacinthe d’eau.

La jacinthe d’eau est une plante macrophyte aquatique dont les tiges forment des tapis flottants très denses. Ses feuilles sont épaisses et arrondies et se tiennent bien au-dessus de la surface de l’eau sur ses tiges.

Elle dispose d’un rhizome bulbeux et spongieux mesurant jusqu’à 6 centimètres de diamètre et 30 centimètres de longueur. Les racines sont noires violacées et plumeuses, peuvent mesurer jusqu’à 300 centimètres et constituer plus de 50 % de la biomasse d’une population de jacinthes d’eau.

La croissance de cette plante est une des plus rapides, voire la plus rapide, du règne végétal : les jacinthes d’eau peuvent pousser de 5mm par jour ! L’origine de la jacinthe est d’Amérique du Sud principalement dans les plaines du Venezuela et de Colombie.

Un envahisseur de la biodiversité :                                                                                                                                                     En l’absence de ses consommateurs naturels notamment le Lamentin, la jacinthe d’eau devient facilement hors de contrôle, causant de nombreux problèmes sociaux et environnementaux. Introduite dans de nombreuses régions pour son attrait esthétique, elle est maintenant présente dans toutes les régions des tropiques, dans plus de 50 pays sur les cinq continents et considérée comme envahissante par plusieurs d’entre eux. Aux États-Unis, l’espèce est notamment inscrite aux listes de plantes envahissantes. En Afrique, l’espèce a totalement ou partiellement envahi certains plans d’eau dont le lac Victoria.                                               

Impacts sur les écosystèmes et les Humains

La jacinthe d’eau est devenue l’un des fléaux les plus importants pour les étendues d’eau douce, des rivières et lacs des tropiques. Dans les régions où elle a été introduite, elle menace la biodiversité. Peu d’espèces végétales peuvent résister à sa croissance. En effet, cette dernière finit par étouffer les autres espèces en formant de denses tapis mono spécifiques qui bloquent la lumière et les rayons UV qui participe a la photosynthèse.

La jacinthe d’eau menace non seulement la biodiversité végétale, mais aussi celle de la faune. En effet, certains oiseaux spécialistes des milieux humides pourraient être négativement affectés par la présence de cette espèce.

Les impacts de la jacinthe d’eau sur les activités humaines varient dans leur nature et leur importance selon le contexte. Les tapis formés par la plante envahissante rendent difficiles les déplacements en bateau et peuvent bloquer les points d’approvisionnement en eau.

La Jacinthe d’eau, entre résolution des problèmes environnementaux et perspectives socio-économiques pour les populations locales.                                        La Jacinthe d’eau possède un très important potentiel de transformation en produits à haute valeur ajoutée et sa fibre a de très grandes capacités d’absorption. Les fibres absorbantes ainsi obtenues peut-être utilisée pour la dépollution des sites naturels contaminés par des hydrocarbures ou sur les sites industriels (fuites d’hydrocarbures, d’acides, de teintures…) mais aussi peut être utilisé en tant que biogaz, fertilisant, compost, combustible ainsi que dans la fabrication de meuble ou de papier.

Malgré le fait que la Jacinthe d’eau soit originaire du bassin amazonien, seulement le Mexique (entreprise TEMA) et le Bénin (Green Keeper Africa) utilisent aujourd’hui ces bienfaits alors que l’Amérique du sud est confronté à de grands problèmes de contamination.

Caractéristique/ dépolluant : cadmium, chrome, mercure, arsenic, césium 137, strontium, uranium 234, 235, 238, plomb, zinc, pesticides.

LE CONCEPT DE BIORAFFINERIE. UN SYSTÈME ÉCONOMIQUEMENT VIABLE ET ÉNERGÉTIQUEMENT AUTONOME

Les bio-raffineries sont des installations qui transforment la biomasse en biocarburant, chaleur et bioénergie, biomatériaux, produits destinés à l’alimentation humaine ou animale. Appliqué à la jacinthe d’eau, ce concept permet une valorisation économique optimale de la plante, en n’y voyant non plus un fléau à éliminer, mais une ressource à exploiter. La valorisation de cette biomasse végétale et l’utilisation de chaque partie de la plante peut être à des fins de production de biogaz, d’enzymes, d’engrais fertilisant, de composant à haut pouvoir absorbant pour dépolluer les eaux des hydrocarbures, acide et autres huile de vidange, récupération des métaux, combustible, utilisation en compost, en vannerie, conservation par ensilage pour utilisation en alimentation animale. De plus, il est possible de générer de l’électricité grâce à la chaleur dégagée par les processus de transformation.

Haut pouvoir d’absorbeur, dépollueur d’eau :
Grâce à sa structure caverneuse et spongieuse, les fibres de la jacinthe d’eau sont extrêmement absorbantes, de quatre à dix-sept fois son poids selon les liquides, permettant la récupération des fuites d’hydrocarbures sur eau, sur terre et rochers. Cela peut donc aider à la gestion de fuites d’essence ou huiles et d’hydrocarbures aux niveaux des garages et stations mais aussi industries et dépôts pétroliers, lutter contre les marrées noires et dépolluer les fleuves en amont. Le processus de dépollution consiste à récupérer des bacs de décantation de tous les déchets d’hydrocarbure auxquels est ajoutée la fibre de jacinthe d’eau qui aspire les déchets pour former une matière végétale solide qu’on peut facilement utiliser comme combustible alternatif. Au bénin une entreprise transforme la jacinthe d’eau en fibres dépolluantes pour absorber les fuites de pétrole. Elle est également utilisée pour ses capacités d’hypercumulateur dans les bassins de décantation des eaux usées et stations d’épurations.

Combustible : Après absorption de l’hydrocarbure, la jacinthe d’eau peut être utilisé comme combustible. L’entreprise cimentière Lafarge utilise déjà le combustible alternatif dans ses fours au Bénin, après des tests concluants relatifs entre autres au pouvoir combustible et au taux d’humidité.                                           

Production de biogaz : La plante entière et l’ensemble des déchets permettront la production de biogaz entrainant une autonomie énergétique. Les enceintes dans lesquelles se déroule la fermentation sont des cuves appelées digesteurs. La méthanisation est un procédé naturel de dégradation de la matière organique par des bactéries, en l’absence d’oxygène, produisant un biogaz composé de méthane et de dioxyde de carbone. La fermentation sans oxygène (anaérobie) de déchets alimentaires ou végétaux dégage un gaz constitué de méthane (CH4) et de dioxyde de carbone (CO2) appelé biogaz. La matière secondaire utilisée pour générer plus de biogaz est constituée de déchets organiques domestiques, des déchets verts et végétaux, des boues d’épuration communales, des cultures énergétiques (maïs, herbe, millet) mais également des déchets de nourriture industrielle.

Fertilisant pour l’agriculture : Cette réaction produit également un résidu, appelé digestat, qu’il est ensuite possible de valoriser en tant qu’engrais et bio fertilisant pour l’agriculture et productions maraîchères car La jacinthe d’eau est riche en nitrates. Elle a été utilisée expérimentalement comme engrais organique au Kenya. Cependant il y a quelques limites à prendre en considération comme les effets sur les sols dus au pH très alcalin.

Compost : La valorisation de la Jacinthe d’eau à travers le compostage obtient un résultat très positif sur les cultures maraîchères et augmente la qualité des produits et la production.

Alimentation animale : L’utilisation de la fleur a également été expérimentée en alimentation animale. A Madagascar, elle est régulièrement utilisée pour l’alimentation des zébus et des lapins par exemple. En Chine, cette plante a été largement utilisée en aliment du bétail des années 1950 aux 1970, durant les grandes pénuries. La jacinthe d’eau peut servir pour l’alimentation animale si elle ne dépasse pas 25% de l’alimentation.

Artisanat : une activité artisanale (meubles, vanneries en autres) mais aussi production de papier à partir des tiges peut également se joindre à la production de fibre absorbante à partir des plantes complètes.

En Birmanie, Thaïlande et au Vietnam, la plante est largement récoltée. Ses racines, bouillies et séchées, sont assemblées en cordelettes puis tressées autour d’une armature en bambou. Cet artisanat a un double avantage, il permet un ralentissement visible de l’invasion de la plante et dynamise sensiblement l’activité économique locale.

​L’application de cette technologique dans les zones humides infestées par E. crassipes présenterait plusieurs avantages dont la réduction des émissions de gaz à effet de serre dû à la jacinthe d’eau dans son milieu naturel, permet à la dépollution des eaux et des terres, à la création d’un marché artisanal bio, à la production d’énergie calorifique, de biogaz, compost et autre engrais naturel de façon totalement décentralisée. Le contrôle de la prolifération de la jacinthe d’eau qui, en plus de la menace sur la conservation de la biodiversité à des effets nuisibles sur certaines activités économiques.

La mise en valeur de la biomasse foliaire constituerait une modification de la structure actuelle de production et de consommation d’énergie domestique et contribuerait à instaurer un rapport plus équilibré entre l’activité humaine et l’écosystème.

La Convention de Minamata sur le mercure, signée en 2013 sous l’égide de l’ONU pour protéger les populations contre les effets du mercure, est entrée en vigueur mercredi 16 août 2017. Objectif : réduire au niveau mondial les rejets d’origine anthropique de ce métal toxique.

L’association PSB France est en partenariat avec Green Keeper Africa installé au Bénin et bénéficie de produits dérivés de la jacinthe d’eau afin d’agir dès la fin de l’année 2017 et préparer les actions en 2018 sur toute la Cordillère des Andes. La première exploitation de Jacinthe devrait voir le jour en Colombie, lieu ou la jacinthe est la plus développé.

L’Argentine, une terre polluée, un environnement dévasté.

L’Argentine est le pays où les produits agrochimiques font le plus de ravages. Des études scientifiques réaliser en 2014 ont révèle un manque de régulation dans l’utilisation des produits, en particulier pour l’épandage du Roundup de Monsanto, associé aux OGM.

Les conséquences sur la santé sont graves pour les habitants des campagnes, régulièrement arrosés de produits chimiques directement chez eux, au travail et même dans les écoles. Les civils sont les premières victimes de ce désastre, à l’image de Fabian Tomasi (présent sur la  photo ci-dessus), agriculteur n’ayant jamais été formé pour utiliser des protections lorsqu’il maniait les produits Monsanto. Aujourd’hui âgé de 47 ans, ses jours sont en danger.

Avec 20 millions d’hectares de soja, l’Argentine est actuellement le troisième producteur mondial. Cette performance est devenue réalité pour ce pays d’Amérique du Sud le jour où Monsanto a commencé à fournir les graines OGM en 1996. Une partie de ces utilisations se déroulent dans un cadre légal, cependant, un grand nombre d’agriculteurs locaux ne connaissent pas la réglementation en vigueur. D’où une application excessive dans certains endroits et des pesticides utilisés à 30 mètres des zones d’habitation, alors que la limite réglementaire est de 500 mètres.

Progressivement, les mauvaises herbes et les insectes ravageurs deviennent résistants, alors les agriculteurs augmentent les doses, multipliant par neuf la quantité de pesticides répandue dans les champs argentins, passant de 34 millions de litres en 1990 à plus de 312 millions de litres aujourd’hui. Dans l’ensemble, les agriculteurs argentins appliquent environ 4,3kg de concentré agrochimique par acre, soit plus de deux fois ce que les agriculteurs américains utilisent. 

N’oublions pas que l’Argentine connait un des taux de déforestation les plus élevés de la planète. Depuis sa révolution agricole de 2001, un million d’hectares de forêts primitives est partie en fumée.

Augmentation des cancers et des malformations

De nombreuses personnes témoignent des cas troublants d’enfants malformés. Des médecins ont dénoncer des cause de mal formation à la naissance dû à l’eau contaminé qui a provoqué cette situation, à cause des poisons qu’elle véhicule. Le risque de développer des malformations à la naissance a quadruplé depuis 10 ans.

Dans le village d’Avia Terai, 30% de la population est atteint du cancer et 80% des enfants de la région possèdent des résidus de pesticides dans leur propre corps.

La réaction de l’accusé

En Argentine, il faut savoir que 10% des recettes de l’État proviennent des exportations de soja transgénique. Les OGM vendus par Monsanto font l’or des Argentins. De plus, Soyeros, le producteur le plus important du pays exerce une pression importante sur le gouvernement, ce qui ralentit significativement certaines recherches liées à la nocivité des produits chimiques. La présidente du pays en 2009, Cristine Kirchner, une commission nationale sur la question. Celle-ci ne s’est toujours pas réunie.

De son côté, Monsanto refuse de voir un lien de cause à effet entre ses produits et les effets néfastes sur la population locale en continuant à affirmer que son herbicide Roundup n’est pas nocif alors que l’Organisation Mondiale de la Santé en 2015 a décrété que le glyphosate provoque le cancer chez l’homme

Entre Terres Ancestrales et firmes agroalimentaires influentes

Nous sommes intervenus en Argentine dès l’année 2015 pour combattre les effets néfastes de la mondialisation, la contamination de nos terres et des nappes phréatiques par les méthodes agro-alimentaires (pesticides chimiques, fatigue des sols). Les peuples indigènes très présent dans le Nord du pays souffrent énormément des contaminations causées par l’utilisation abusive des pesticides et sont très souvent délaissés.

Objectifs :

  • Aide à l’éducation et à l’autonomie des peuples locaux d’Argentine.PRIORITÉ 2018 : Décontamination des eaux contaminées par les pesticides et métaux lourds en Argentine par l’exploitation de la Jacinthe d’eauAider au développement économique local du peuple Wichi par la production. pluridisciplinaire de la Jacinthe d’eau, formation et création d’emploi.Construction de four solaire en partenariat avec SOLAR INTI.Améliorer les conditions et infrastructures d’éducation scolaire, sportive et de santé.Accès à l’école pour tous les enfants, organisation périscolaire, soutien scolaire.médiatiser avec TV5 Monde notre projet de décontamination des eaux par l’exploitation de la jacinthe d’eau et de l’aide à l’éducation et à l’autonomie des peuples locaux

Actions de Février à Avril 2015 (Argentine- Buenos Aires/Chaco avec les Guarani et Wichi) :

Développement social (Education/ Sport/ Santé):

  • Listing des besoins sociaux des communautés Wichi et Guarani, Salta et à Hojar San José B.A.Création d’une antenne de l’association chez les Guarani et Wichi, responsable Gaston LarranDistribution de fournitures scolaires pour plus de 600 enfants les plus démunis.Don de matériels sportif et artistique aux éducateurs.Don de denrées alimentaires.

Développement économique et agricole :

  • Listing des besoins économiques des communautés Wichi et Guarani. (Région du Chaco)Construction d’une salle commune (jeux, bibliothèque et soutien scolaire) chez les Guaranis.Sceller les égouts de l’école Wichi.Création d’un potager à « Hojar San José » banlieue Buenos Aires.                          

Actions  dans la région du Chaco, communauté Wichi, Novembre 2017: 

Développement social (Education/ Sport/ Santé):

  • Création de l’antenne PSB Argentine pour une meilleure communication et logistique.Contrats avec les entreprises multinationales agro-alimentaires alentours, la Mairie de Général Ballivian, le ministère des affaires aborigènes, la communauté Wichi, les propriétaires du lac Corralito pour l’exploitation de la Jacinthe prévu courant 2018.Analyse des Eaux des communautés indigènes avant et après manipulation de la jacinthe d’eau.Reperage du lac Corralito pouvant accueuillir l’exploitation de la jacinthe.Partenariat avec les Universités Centrale et Catholique de Buenos Aires et de Salta.Formation à l’exploitation de la jacinthe d’eau et à la permaculture potagerSensibilisation dans les écoles de communauté du programme d’aide à l’éducation et au développement localConstruction de four solaire avec notre partenaire SOLAR INDI.Création d’un espace jeux pour les enfants de moins de 5 ans.Achat de fourniture scolaire pour les 400 enfants de l’école Wichi.Don de matériels sportif et de santé pour l’école Wichi

Développement économique et agricole :Rénovation de l’école Wichis  dans sa totalité (enduit, peinture)Rénovation de la cuisine (réparation cuisinière, achat d’une seconde, évacuation des eaux usées)Rénovation des toilettes de l’écoleDeveloppement de l’artisanat et d’un marché local de la communauté Wichi.

Développement écologique :Développement de l’exploitation de la Jacinthe d’eau dans le nord du pays.

Actions pour 2018/19, économique et social, communauté Wichi:  

  • Création de club de football officiel Wichi/ Guarani en partenariat avec la F.F.F.
  • Mise en place du projet périscolaire et soutien scolaire à la rentrée 2018.
  • Partenariat avec l’hopital de Salta, priorité pour les soins d’urgence Déc 2018.
  • PRIORITÉ 2018 : Construction et investissement dans l’industrie de la jacinthe d’eau
  • Construction du complexe sportif, 1 terrain de football, 2 de beach volley, Janvier 2019
  • Construction du local associatif
  • Création de formation PSB maçonnerie, charpentier, soudeur, couturier avec des hommes de métier au sein des communautés, 2019
  • Mise en place d’un garage à vélo, don de vélos 2019

Création d’un circuit touristique au Nord de l’Argentine et la Bolivie comprenant des missions d’aide et de solidarité envers les commuautés Guarai et Wichi.

Sensibiliser : (listing complet disponible)➢ médias : 26 Noticias, América TV, Clarin, Cronica, la Nacion, Perfil, Tv national Argentina
➢ Universités : Universidad publica de Buenos Aires UBA y de Salta UNSA
➢ ONG : Manos Abierta, Padrinos de escuelas rurales, F. ninos unidos para el mondo


Soutien :

 – partenaire : TV5 Monde

– Budget bilan 2015 : 3335,79 euros

                                                                                                          – Budget bilan 2017 : 5506,79 euros

Pour + d’information/ cf projet «DÉCONTAMINATION DES EAUX ET AUTONOMIE DES PEUPLES LOCAUX» Argentine.

La Bolivie, pays de la Terre-Mère voit ses lacs mourir à petit feu.

Le célèbre lac Titicaca, duquel dépendent, pour leur subsistance, trois millions de Boliviens, n’est pas épargné. De 2007 à 2011, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) s’est penché sur le « berceau » de la civilisation Inca.

Son étude a montré que la plus grande réserve d’eau douce d’Amérique du Sud (8 500 km²) est en partie contaminée par des polluants métalliques issus des déchets des exploitations minières, légales et illégales, présentes sur son bassin versant, ce dernier présentant la particularité d’être endoréique – ses eaux, superficielles et souterraines, n’atteignent jamais l’océan. Écosystème fragile et « fermé », le plus haut lac navigable du monde (à 3 812 m d’altitude) se meurt à petit feu…

Une vision apocalyptique bien loin de l’image recherchée par les 750 000 visiteurs, qui chaque année, se rendent aux abords du lac et se rendent compte que la surface bleutée faisant écho au ciel limpide de l’Altiplano a perdu de sa superbe, et que la faune et la flore subissent directement les conséquences de cette pollution désastreuse.

Des milliers de grenouilles géantes ont ainsi été retrouvées sans vie sur les rives du Titicaca, une alerte éloquente sur la mauvaise santé de cette zone écologique pourtant précieuse, les autorités ont promis de résoudre le problème depuis deux décennies, mais jusqu’à présent, rien de vraiment effectif qui puisse consoler les habitants et les écologistes. Si l’on prend l’exemple de la ville de Juliaca, où transitent les touristes internationaux au Pérou, 200 tonnes de déchets quotidiens sont déversées en grande partie dans une rivière qui s’écoule dans le Titicaca, le lac devient un réceptacle à déchets, bien qu’il soit l’une des réserves d’eau douce la plus importante en Amérique du Sud !

Les habitants de la région se plaignent non seulement de la saleté et de la puanteur produite par cette pollution massive, mais s’inquiète aussi de la pollution engendrée sur la flore et la faune.


L’autre source de pollution provient également des activités « extractivistes » des mines d’or situées à 100 kilomètres en amont, où des milliers de mineurs informels utilisent jusqu’à 15 tonnes de mercure par an pour purifier le métal d’or, des déchets toxiques qui finissent par atterrir dans le Titicaca.
La presse péruvienne révèle que l’équivalent de 2 500 piscines olympiques remplies d’eaux usées se déverse chaque année à l’entrée du Titicaca, rien que depuis la baie de Puno, autant dire que la charge des experts est lourde pour redonner l’éclat et la pureté des eaux du berceau lacustre de la plus flamboyante civilisation précolombienne du continent sud-américain !

Le modèle économique de la Bolivie – Le pays le plus pauvre d’Amérique du Sud est bâti sur l’exploitation intensive, voire agressive, de la richesse de son sous-sol. Avec l’argent et l’or, désormais l’étain, le zinc, le plomb, le cuivre, le fer, l’antimoine, l’arsenic, le cadmium, le tungstène, le manganèse, le bismuth, etc., sont extraits en quantités considérables – pour l’essentiel dans les régions occidentales de Potosi, Oruro et La Paz – et exportés, à l’état brut, vers les pays riches du Nord et les pays émergents (2).

L’exploitation minière, encore artisanale, est la seconde industrie extractive du pays, après les secteurs pétrolier et gazier. Elle pèse environ 14 % du PIB national et représente bon an mal an, avec les hydrocarbures, 75 % des exportations.

A Potosi comme dans la ville de Oruro, 40 millions de tonnes de terrils ont formé deux montagnes de poussières métalliques, au pied desquelles vivent près de 200 000 personnes.

Les réseaux hydrologiques sont fortement pollués. Issues de l’érosion des terrils lors de la saison des pluies ou rejetées lors du pompage des galeries de mine, des eaux acides se jettent dans les rivières des Andes.

Les scientifiques ont montré que les eaux lacustres contiennent des concentrations en métaux lourds (cadmium, plomb, mercure, antimoine, nickel, cobalt, chrome, zinc, cuivre et arsenic) « nettement supérieures aux normes de potabilité ». Les poissons présentent, eux aussi, des taux de contamination élevés au cadmium et au plomb.

Ce constat environnemental lourd est généralisable à l’ensemble de la Cordillère bolivienne, où les mines et avec elles les rejets polluants, intentionnels comme accidentels, sont omniprésentes.

L’éducation et la santé des peuples autochtones en Amérique du Sud.

Des Quechuas aux Aymaras au Pérou, ou des Wahuu du Venezuela au Machupe au Chili, Ces communautés aborigènes se trouvent dans une même situation économique et sociale. Le Pérou a la plus grande proportion de population indigène d’Amérique latine avec la Bolivie, l’Équateur et le Paraguay. Entre 80 et 85% de leurs populations sont indigènes ou métisses. Cette pluralité de cultures et de langues est associée à de fortes différences en termes de revenus et d’opportunités de travail et d’accès à l’éducation.

En dépit d’une faible baisse de la pauvreté, l’écart entre les populations indigènes et non indigènes demeure aussi important qu’il y a dix ans. L’accès à l’éducation est la plus faible dans la population  indigène, avec seulement 10,2 % d’entre eux poursuivant des études supérieures.

Les opportunités sur le marché du travail sont encore plus limitées, avec une surreprésentation dans le secteur agricole qui représente plus de deux tiers des emplois pour la population indigène.

Ces contraintes restreignent l’accès à l’information et aux opportunités d’investir dans son avenir. Les enfants indigènes vivent dans des zones reculées où les informations sur les opportunités professionnelles et l’accès à une éducation de qualité sont limitées.

Leurs parents, eux-mêmes pauvres, ne peuvent les soutenir financièrement dans leurs études ainsi les enfants n’espèrent plus atteindre un niveau d’études avancé et doit participer à l’effort collectif des corvées de la communauté. Ils grandissent souvent dans des quartiers pauvres et il est plus probable qu’ils aient un métier associé à un faible statut socio-économique.

Les indigènes font face à un contexte socio-économique plus défavorisé. Ils vivent notamment plus souvent dans la pauvreté ou en milieu rural.

Des peuples qui subissent la contamination causée par l’exploitation minière et pétrolière.

Le Pérou a déclaré l’état d’urgence dans onze districts de la région de Madre de Dios située en Amazonie (sud-est du pays). Des taux anormalement élevés de mercure ont en effet été détectés dans cette zone où les mines clandestines d’extraction de l’or sont légion.
Le monde se rend-il compte des dégâts que cause l’exploitation de ressources naturelles en Amérique latine ?
Les populations autochtones, les rivières et les espèces aquatiques sont contaminées, ce qui entraine des problèmes de santé sérieux, chroniques et complexes, particulièrement chez les enfants et les femmes enceintes ».

Pour exploiter des ressources naturelles, l’Etat négocie ses conditions directement avec les entreprises, qui sont généralement des multinationales. Les populations autochtones qui vivent sur les territoires concernés ne sont, quant à elles, quasiment pas consultées. 

En principe, les propriétaires ont un droit de compensation. Mais les autochtones ne possèdent généralement aucun titre de propriété ou foncier. Ils sont donc bien souvent expulsés de l’endroit où ils, et leurs ancêtres, habitent depuis des centaines d’années, sans aucune compensation. 

Pour l’exploitation d’une mine, les entreprises amènent des infrastructures sur place, coupe des hectares arbres, tracent des routes larges afin faire passer les bulldozers, creuse des mines à ciel ouvert etc. Tout cela entraîne des pollutions de l’air, de l’eau et sonore. Les entreprises exploitantes vont également déverser dans les cours d’eau alentour des produits dangereux, comme du cyanure pour l’extraction de l’or. Ces toxiques se retrouvent ensuite dans les rivières, ce qui entraîne l’apparition de maladies pour les habitants qui s’y baignent ou qui la boivent et des modifications graves sur la faune locale. Celles-ci n’ont plus aucune ressource pour vivre puisque tout leur écosystème est détruit et contaminé. Et leurs traditions sont remises en cause. 

Lorsqu’ils sont expulsés, les autochtones se déportent parfois de quelques centaines de kilomètres pour essayer de reconstruire quelque chose obligés de partir vers les villes ne serait-ce que pour avoir à manger. On constate ainsi beaucoup de mendicité, d’alcoolisme, et parfois même de prostitution chez les autochtones en milieu urbain. 

Agir pour le Lac Titicaca

 La Bolivie est le pays le plus pauvre du continent Sud-américain. Son modèle économique basé sur les ressources naturelles provoque au fils du temps de gros problèmes de contamination et d’assèchement de leurs réserves d’eau dont le lac Titicaca qui repose à plus de 3800mètres d’altitudes. Le Lac Titicaca est le berceau de l’humanité et il est important d’agie au plus vite pour la situation environnemental et sanitaire des peuples indigènes vivant à proximité.  
   

Objectifs :                             

  • Lutter contre les effets néfastes de l’activité de l’Homme.
  • Décontamination du Lac Titicaca par la Jacinthe d’eau.
  • Aider au développement économique local des peuples indigènes alentours.
  • Améliorer les conditions et infrastructures d’éducation scolaire, sportive et de santé.
  • Accès à l’école pour tous les enfants, organisation périscolaire, soutien scolaire.

1er actions en Décembre 2017

Développement économique et social :

  • Rencontre avec les représentants de la ville de Copacabana.
  • Création de l’antenne PSB Bolivie pour une meilleur communication et logistique.
  • Listing des besoins sociaux, éducatif, sportif  et sanitaire.
  • Création de partenariat avec les entrprises d’exploitation de la Jacinthe d’eau au Pérou.
  • Sensibilisation dans les universités de La Paz de l’aide au développement et la dépollution par la Jacinthe d’eau.
  • Analyse des eaux du Lac Titicaca avant et après manipulation de la Jacinthe avec les autorités concernées.
  • Cibler les peuples indigènes les plus en dificultés prêt du Lac Titicaca pour une action concrète en 2018.

Actions de développement à venir courant 2018

Développement social :

Education :

  • Don de livres, manuels de cours, fournitures scolaires et des premières nécessités éducatives.
  • Mise en place d’un projet périscolaire et soutien scolaire.
  • Formation à la permaculture.
  • Sensibilisation dans les écoles de Copacabana du programme d’aide à l’éducation et au développement local
  • Dans l’attente de la premiere rencontre afin de lister aux mieux les besoins sur place.

Sport :

  • Don de ballon de football, volleyball, filets, chasubles, cônes et autres nécessités sportives.

Santé :

  • Don de matériel de santé, trousse de premier secours
  • Don de denrée alimentaire pour les plus démunis
  • Création d’une antenne santé locale pour accueillir les premiers soins gratuit pour les enfants
  • Distribution de cartons de vêtements pour les plus démunis.

Développement économique/ agricole:

  • Construction du local PSB Bolivie à Copacabana.
  • Aide à la diversification de l’agriculture, potagers pérmaculture
  • Don de materiels agricoles

Développement écologique :

  • Dépolution des cours d’eau et lac de tout le pays en partenariat avec les autorités.
  • Développement de l’agriculture permaculture.

Sensibiliser : (listing complet disponible)

  • médias : El Deber, La Razon, Los Tiempos, El Dia, ATB Red National
  • Universités : UMSA, UPEA, UREAL, UPIEB, UTB publica de La PAz
  • ONG : F. Tierra, Herencia ONG, Apostamos por Bolivia, LBV, ACDI-VOCA

Soutien :

  • Organismes : ONU, Fédération Française de Football, Institut Fenelon
  • Communication : TV5 Monde
  • Entrprises :Green Keeper Africa, Balicco Entreprise, Peraline CA
  • Informations du projet 

– Budget prévisionnel 2017: …..euros

Au Pérou, la lutte des peuples contre des mines et forages dévastateurs.

Les cas de pollution et d’empoisonnement se multiplient dans la région amazonienne du Pérou. Le gouvernement péruvien déclare l’état d’urgence dans deux districts de la région de Loreto pour faire face aux dégâts provoqués par une douzaine de fuites de pétrole de l’oléoduc du Nord péruvien. Et les premières victimes de l’industrie pétrolière et minière sont aujourd’hui les indiens en isolement volontaire et les communautés indigènes en général.

Agua Si, Oro No ! » C’est le cri qui retentit depuis plusieurs années à Celendín, petite ville perdue dans les montagnes du nord du Pérou. Ici, l’agriculture est reine, la région possède de nombreuses ressources en eau. Mais le sous-sol est depuis toujours convoité pour ses ressources en or. La région de Cajamarca héberge déjà la plus grande mine d’or d’Amérique du Sud, Yanacocha, exploitée depuis 1993.

Le ministère péruvien de la santé affirme que 82% des membres de la communauté indigène de Santa Rosa de Serjalí ont dans leurs organismes des niveaux de mercure supérieurs à la normale. Après avoir réalisé fin 2015, 106 examens d’urine à des indiens Nahua, soit au tiers de la population de cette communauté, 90 montraient des concentrations de mercure dangereuses pour la santé. La contamination provient de la consommation d’un poisson, le Mota Punteada de son nom local. Dans des pays comme la Colombie et le Brésil, ce poisson est d’ailleurs interdit à la consommation humaine car son organisme a la capacité d’accumuler le mercure présent dans l’environnement.
Du mercure dans les eaux des rivières

La présence de mercure dans les eaux des rivières de l’Amazonie péruvienne est dû aux mineurs illégaux. Mais la contamination va au-delà des zones d’exploitation aurifère. Dans le cas de la communauté Nahua qui se trouve dans la région d’Ucayali, à l’Est du Pérou, les autorités n’ont pas trouvé de concentration de mercure dans l’eau, la terre et l’air. Cela veut donc dire que le poisson Mota Punteada a accumulé ce mercure au-delà des zones où se pratique l’activité minière illégale.

Toujours selon une ex-vice ministre du ministère de la Culture, les mêmes résultats ont été obtenus dans des zones proches au parc national du Manu, dans la région de Madre de Dios, au sud- est du pays. Le ministère de la Santé a d’ailleurs lancé un programme spécial de recherche sur ces cas d’empoisonnement au mercure qui provoquent notamment des problèmes rénaux sérieux et des cas d’anémie. Chez les Nahuas, un enfant de 4 ans est mort présentant des symptômes compatibles avec un empoisonnement au mercure.

Les indiens isolés du Pérou en danger

D’autres tribus sont touchées.  40 tonnes de mercure sont rejetées chaque année dans les eaux de l’Amazonie péruvienne par les chercheurs d’or illégaux. Au total, dix ethnies seraient menacées d’empoisonnement au mercure dans les pays de la région.

Une eau de plus en plus polluée.

La question de l’eau est au centre des préoccupations des communautés. Sur une concession pétrolière, le bloc 116, Maurel et Prom aurait utilisé des produits toxiques au cours de l’exploration du sous-sol. L’entreprise prévoirait d’épandre des déchets dangereux sur les terres des peuples Awajun ; une méthode de traitement pourtant controversée.

Le contrôle des eaux usées est jugé insuffisant et irrégulier. « Les communautés rapportent que le point de contrôle des eaux usées est situé beaucoup plus loin en aval et en amont du rejet, que ce que prévoyait l’entreprise », précise Morgane Laurent, chargée d’étude au CCFD. Avec des contrôles plus éloignés de la source (à 4 et 33km plutôt qu’à 50m), les taux de métaux lourds ou de produits chimiques sont plus faibles car la pollution s’est diluée ! Perenco, autre entreprise pétrolière française, est par ailleurs accusée par les communautés de 3 déversements de pétrole recensées entre novembre 2013 et janvier 2014.

Approuvé en 2010 par le gouvernement péruvien, le nouveau projet dénommé Conga est situé à quelques dizaines de kilomètres. Le consortium qui souhaite exploiter la mine est détenu à 51,35 % par Newmont Mining Corporation, une compagnie américaine basée à Denver, Colorado. Suivent un groupe péruvien, Compañía de Minas Buenaventura (CMB, 43,65 %) et International Finance Corporation (IFC, 5 %), une extension de la Banque mondiale. L’investissement prévu approche les 5 milliards de dollars.

Pour les groupes étrangers, venir exploiter l’or au Pérou est extrêmement intéressant. La main d’œuvre est très bon marché, et le gouvernement a adopté une série de mesures incitatives pour aider les multinationales à s’implanter, notamment en facilitant l’achat de terres au détriment des droits des communautés.

Agir au plus vite pour remédier à cette double contamination

 Le Pérou est le pays d’Amérique du Sud où l’exploitation du pétrole et des minerais fond le plus de dégats sur leur population indigènes. Tout le Nord du pays est concernés par l’exploitation pétrolière dont des entreprises française sur place près d’Iquitos où de gros problèmes de contamination sont avérées et où est présente l’une des plus grande mine d’or du continent, Yanacucha. L’effet de ces contaminations se fond ressentir jusqu’au Sud Est du Pays, à plus de 1500 km alors que les contaminations sont présentent bien en amont.  
            

Objectifs :                             

  • Lutter contre les effets néfastes de l’activité de l’Homme.
  • Décontamination des cours d’eau et piscines d’eau contaminés des forages de pétrole par l’exploitation de la Jacinthe d’eau
  • Aider au développement économique local des peuples indigènes près d’Iquitos par la production pluridisciplinaire de la Jacinthe d’eau, formation et création d’emploi.
  • Aide à la réinsertion des peuples Indigènes.
  • Améliorer les conditions et infrastructures d’éducation scolaire, sportive et de santé des peuples indigènes les plus touchés.
  • Accès à l’école pour tous les enfants, organisation périscolaire, soutien scolaire.

1er actions en Décembre 2017

Développement économique et social :

  • Rencontre avec les représentants des peuples indigènes de la région de Loreto et de Catamarca.
  • Création de l’antenne PSB Pérou pour une meilleur communication et logistique
  • Listing des besoins sociaux, éducatif, sportif  et sanitaire.
  • Présentation et du projet de développement local par l’exploitation de la Jacinthe d’eau.
  • Sensibilisation dans les universités de Lima et de la région de Loreto de l’aide au développement et la dépollution par la Jacinthe d’eau.
  • Analyse des cours d’eau contaminé avant et après manipulation de la Jacinthe avec les autorités concernées.
  • Repérer les cours d’eaux et lacs pouvant accueuillir l’exploitation de la Jacinthe.
  • Cibler les peuples le plus en dificultés près d’Iquitos et de la mine de Yanacucha pour une action concrète en 2018.

Actions de développement à venir courant 2018

Développement social :

Education :

  • Don de livres, manuels de cours, fournitures scolaires et des premières nécessités éducatives.
  • Mise en place d’un projet périscolaire et soutien scolaire.
  • Formation à l’exploitation de la Jacinthe d’eau et de la permaculture potager.
  • Sensibilisation dans les écoles d’Iquitos et de Catamarca du programme d’aide à l’éducation et au développement local
  • Dans l’attente de la premiere rencontre afin de lister aux mieux les besoins sur place.

Sport :

  • Don de ballon de football, volleyball, filets, chasubles, cônes et autres nécessités sportives.

Santé :

  • Don de matériel de santé, trousse de premier secours
  • Don de denrée alimentaire pour les plus démunis
  • Création d’une antenne santé locale pour accueillir les premiers soins gratuit pour les enfants
  • Distribution de cartons de vêtements pour les plus démunis.

Développement économique/ agricole:

  • Construction du local PSB Perou à Catamarca.
  • Construction et invetissement dans l’industrie de la Jacinthe d’eau
  • Aide à la diversification de l’agriculture, potagers pérmaculture
  • Don de materiels agricoles

Développement écologique :

  • Dépolution des cours d’eau du Pérou et autre canalisation en partenariat avec les autorités.
  • Développement de l’exploitation de la Jacinthe dans tout le pays.
  • Développement de l’agriculture bio permaculture.

Sensibiliser : (listing complet disponible)

  • médias : Correo, El Comercio, El Peruano, La Republica, La Razon, La Region, Ozono Tv.
  • Universités : Universitad Nacional de Cajamarca y de Loreto, Lima publica (UNALM, UNMSM)
  • ONG : A. Paz y Esperanza, Pro Desarollo Peru Vida, DETEC, Ekamolle, GRADE, Peru ecologico

Soutien :

  • Organismes : ONU, Fédération Française de Football, Institut Fenelon
  • Communication : TV5 Monde
  • Entrprises :Green Keeper Africa, Balicco Entreprise, Peraline CA
  • Informations du projet 

– Budget prévisionnel 2017: …..euros

Hydrocarbure en Equateur.

L’Equateur a d’importantes ressources pétrolières, surtout en zone amazonienne qui lui permet  d’extraire jusqu’à près de 510 000 barils de brut par jour. Une politique extra-activiste orchestrée à plus de 50% par une entreprise locale : PetroEcuador. L’Equateur est le plus petit membre de l’OPEP mais dispose à lui seul de 2,9% des réserves de pétrole d’Amérique latine et est le trente troisième producteur mondial. Cette industrie pétrolière représente aujourd’hui 53% des exportations du pays et 60% des revenus du pays. 

Malgré le discours du président équatorien qui prône un progressif passage à un système post pétrolier, l’Equateur a augmenté de 4% sa production de pétrole ces dernières années, selon le ministre des ressources naturelles non-renouvelables… Les réserves du parc Yasuni représentent près de 20% des réserves de brut du pays. 

L’ouverture de puits de pétrole et la biodiversité équatorienne ne font pas bon ménage.


La politique extra-activiste en zone amazonienne est catastrophique pour la forêt équatorienne. En effet, chaque puits de pétrole vertical représente près de 500 m3 de déchets solides et jusqu’à 3 000 m3 de déchets liquides. Pour le parc Yasuni, qui serait aménagé plus de 130 puits, cela représente 65 000 m3 de déchets solides et 390 000 m3 de déchets liquides tous toxiques. Ces déchets sont laissés par les compagnies pétrolières sous la plateforme de perforation. Des compagnies pétrolières comme Sinopec prévoit deux fois plus de puits et donc deux fois plus déchets.

 Outre la pollution directe par des déchets d’exploitation, l’extraction du pétrole a des conséquences désastreuses sur la forêt amazonienne. En effet, chaque puits de pétrole engendre la déforestation de 1,5 hectare de forêt pour la plateforme, le matériel et le campement. Il faut ajouter à cela les voies d’accès qui peuvent faire jusqu’à 5 cm de large. Enfin, il y a toutes les infrastructures de transport du pétrole brut : les tuyauteries et les lignes de transmission. Mais la déforestation la plus importante est indirecte et est liée à la construction des routes qui servent à la maintenance des exploitations : des villes se construisent le long de ces routes de plus en plus profondément dans la forêt. Une telle déforestation est catastrophique pour le climat.

                                           Un autre gros problème de pollution est celui des eaux d’exploitation. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, une réserve sous terraine de pétrole ne consiste pas du tout en une immense cavité rempli de  pétrole brut. En effet, mélangé à de l’eau, le pétrole occupe les pores microscopiques d’une roche spongieuse. On ne récupère donc pas de pétrole pur en sortie de puits, mais un mélange d’eau sédimentaire et de pétrole. Ce type d’eau présente des concentrations très élevées de chlorures et de métaux lourds : jusqu’à 100000 milligrammes d’élément solides de chlorure de sodium par litre d’eau. Cet excès de sels est d’autant plus grave qu’il améliore la solubilité d’autres éléments comme le radium, radioactif.

Enfin, ces eaux contiennent des particules d’hydrocarbures solubles et des produits chimiques qui sont utilisés pour séparer le pétrole de l’eau et protéger les installations (anti-émulsionnants, anti-paraffiniques, biocides et autres). En moyenne, pour 20 barils de pétrole extrait, c’est plus de 80 barils d’eau d’exploitation qui sont aussi déversés dans la nature, soit 4 fois plus. Ainsi, si on considère que les réserves en pétrole du parc Yasuni s’élèvent à 850 millions de barils, ce serait 3 milliards 400 millions de barils d’eau de formation qui seraient extraits. Ce qui représente 21 milliards 385 millions de mètres cube d’eaux toxiques. La réinjection de telles quantités d’eau est impossible puisqu’il n’existe pas de formation géologique sous terraine suffisamment étendue pour les accueillir. De manière générale, l’eau d’exploitation est, aujourd’hui, déversée dans la nature et pollue les eaux de surface qui servent de réserves d’eaux potables aux populations indigènes et à la faune de la région.

L’affaire Chevron Texaco


Entre 1960 et 1990, Texaco, une filiale de Chevron, a exploité les réserves pétrolières équatoriennes en forêt amazonienne et a été accusée d’avoir déforesté illégalement une partie de la forêt et d’avoir déversé délibérément des millions de tonnes de déchets toxiques en pleine jungle ou dans les fleuves, sur plusieurs centaines de sites dont le parc national Yasuni fait partie. La filiale a aussi été accusée d’avoir quitté le pays sans dépolluer. Certains experts parlent du « Tchernobyl de l’Amazonie » et du pire désastre pétrolier de l’histoire.

 Nos actions de développement et de décontamination de l’Amazone équatorien.

 L’Equateur est le pays d’Amérique du Sud où il y a le plus de piscine d’eau pollué au Mercure et aux métaux lourds par l’exploitation de pétrole. La égion de Lago Agrio, dans la région de Sucumbios, est surexploité par les entreprises pétrolières et la plupart des peuples locaux, qui sont indigènes, doivent faire face à de gros problème de contamination. Il est important d’agir vite pour dépolluer l’environnement dont dépend de milliers de personnes indigènes.  
    

  Objectifs :                              

  • Lutter contre les effets néfastes de l’activité de l’Homme.
  • Décontamination des cours d’eau et piscine de rétention d’eau en Equateur par l’exploitation de la Jacinthe d’eau
  • Aider au développement économique local de la ville de Lago Agrio par la production pluridisciplinaire de la Jacinthe d’eau, formation et création d’emploi.
  • Aide à la réinsertion des peuples Indigènes.
  • Améliorer les conditions et infrastructures d’éducation scolaire, sportive et de santé
  • Accès à l’école pour tous les enfants, organisation périscolaire, soutien scolaire.

1er actions en Décembre 2017

Développement économique et social :

  • Rencontre avec les représentants de la ville de Quito et de Lago Agrio.
  • Création de l’antenne PSB Equateur pour une meilleur communication et logistique
  • Listing des besoins sociaux, éducatif, sportif et sanitaire de première nécessité.
  • Présentation du projet de développement local par l’exploitation de la Jacinthe d’eau.
  • Sensibilisation dans les universités de Quito et de la région de Sucumbios de l’aide au développement et de la dépollution par la Jacinthe d’eau.
  • Analyse des cours d’eau contaminé avant et après manipulation de la Jacinthe avec les autorités concernées.
  • Repérer les cours d’eaux et lacs pouvant accueuillir l’exploitation de la Jacinthe.
  • Cibler les zones dasn le besoins et les plus contaminés pour une action concrète en 2018.

Actions de développement à venir courant 2018

Développement social :

Education :

  • Don de livres, manuels de cours, fournitures scolaires et des premières nécessités éducatives.
  • Mise en place d’un projet périscolaire et soutien scolaire.
  • Formation à l’exploitation de la Jacinthe d’eau et de la permaculture potager.
  • Sensibilisation dans les écoles de Lago Agrio du programme d’aide à l’éducation et au développement local
  • Dans l’attente de la premiere rencontre afin de lister aux mieux les besoins sur place.

Sport :

  • Don de ballon de football, volleyball, filets, chasubles, cônes et autres nécessités sportives.

Santé :

  • Don de matériel de santé, trousse de premier secours
  • Don de denrée alimentaire pour les plus démunis
  • Création d’une antenne santé locale pour accueillir les premiers soins gratuit pour les enfants
  • Distribution de cartons de vêtements pour les plus démunis.

Développement économique/ agricole:

  • Construction du local PSB Equateur à Lago Agrio.
  • Construction et investissement dans l’industrie de la Jacinthe d’eau
  • Aide à la diversification de l’agriculture, potagers pérmaculture
  • Don de matériels agricoles

Développement écologique :

  • Dépolution des cours de l’Amazone équatorien en partenariat avec les autorités.
  • Développement de l’exploitation de la Jacinthe dans tout le pays.
  • Développement de l’agriculture bio permaculture.

Sensibiliser : (listing complet disponible)

  • médias : ANDES, Canal uno, El comercio, El universo, La hora, Metro Hoy, Ultimas Noticias.
  • Universités : EPN, FLACSO, IAEN, UASB, UCE publica de Quito
  • ONG : INREDH, F. Pachamama, COMUNIDEC, F. Pueblo Indio del Ecuador, CEDENMA, ERPE.

Soutien :

  • Organismes : ONU, Fédération Française de Football, Institut Fenelon
  • Communication : TV5 Monde
  • Entrprises :Green Keeper Africa, Balicco Entreprise, Peraline CA
  • Informations du projet 

– Budget prévisionnel 2017: …..euros

Colombie : le pays le plus contaminé au mercure du continent.

L’extraction d’or est une des pratiques minières les plus destructives et les plus polluantes.

Les regards des compagnies minières se sont tournés vers l’Amérique latine, et en Colombie s’est déclenchée une véritable fièvre de l’or. D’un autre côté, la résistance populaire pour défendre la vie, l’eau, l’environnement et la culture s’intensifient jour après jour.

La recherche d’or que conduit par AngloGold Ashanti (AGA) dans la mine La Colosa, à Cajamarca, représente une menace pour un des complexes hydrologiques les plus importants du pays qui alimente en eau plus de 4 millions de personnes. Le projet se situe dans un des derniers fragments de páramo et de forêt des hautes Andes, régulateurs des eaux de la commune de Coello, qui pourraient être contaminés.

Un autre projet de mines d’or concerne le cœur de la forêt du littoral pacifique de Colombie, dans le département du Cauca, Buenaventura, région du Chocó biogéographique couverte de forêts tropicales et traversée par de puissants fleuves comme le Dagua, source de vie qui en reçoit de nombreux autres, comme le San Cipriano, qui donne son nom à une réserve de forêt tropicale.

Zaragoza est un village de communautés noires. L’activité minière lui accorde de bien maigres avantages en échange d’une grande détérioration de l’écosystème, et transforme le fleuve en un courant de déchets chimiques.

« Des niveaux élevés de mercure dans le poisson laissent à prévoir que les consommateurs des produits de la pêche, essentiellement les communautés autochtones, les colons et les autres consommateurs, présentent un bioaccumul de ce métal lourd », peut-on lire dans un communiqué officiel du gouvernement, dès lors la traque aux mineurs illégaux est plus que jamais d’actualité, sachant que cette activité pratiquée clandestinement est l’une des principales causes de pollution de l’eau douce sur le territoire national.

Les chercheurs d’or, mais aussi de coltan et même d’uranium, occupent 12 régions du pays, dont 21 départements (Cauca, Antioquia, Choco Santanderes, Amazonas, Guainía, Putumayo, Valle, Vichada, Cundinamarca, Sucre, Boyaca, Vaupes, Bolivar, Magdalena, Cesar, Cordoba, Risaralda, Caldas et Caquetá). Ils exercent des activités qui engendrent des contaminations au mercure et au cyanure.

Selon le rapport “Minería y Desarrollo, 70 % des Andes colombiennes et 40 % du territoire national au total sont marqués par l’exploitation minière y compris dans les zones protégées et écologiques prioritaires, et dans 233 municipalités l’exploitation minière illégale est pratiquée ce qui signifie presque un cinquième du territoire.

La Colombie est le pays avec le taux de contamination au mercure le plus élevé du continent. En moyenne, on estime qu’environ 205 tonnes de mercure sont rejetées annuellement sur environ 90 cours d’eau du pays sud-américain, en particulier ceux qui sont situés dans la partie inférieure à savoir le Cauca, le Choco et le Nariño.
Bien que le mercure affecte principalement le système nerveux, les reins et le foie, il induit également des problèmes de santé plus subtils, comme les mains tremblantes qui peuvent être confondus avec les symptômes cliniques d’autres maladies, ce qui rend le diagnostic clinique de l’intoxication aux métaux difficile.

Les autorités colombiennes ont lancé depuis 2015 une campagne pour décontaminer les fleuves de Colombie les plus touchés.

Une nouvelle plante pour aider à la décontamination et au développement des peuples locaux

 La ville de Mocoa, dans la région de Putumayo, a été touché en Avril 2017 par une coulée de boue catastrophe provenant de 3 rivières en surplomb. Une coulée provoquée par la déforestation massive des forêts alentours pour laisser place à l’exploitation des minerais. La plupart de la ville est à reconstruire alors que la majorité des peuples vivant dans la région sont très pauvres. Les Moqueras qu’ils soient indigènes ou Farc pour la plupart ont besoin d’aide pour retrouver une situation stable et vivre dignement.  
                

Objectifs :                             

  • Lutter contre les effets néfastes de l’activité de l’Homme.
  • Décontamination des cours d’eau et canalisation en Colombie par l’exploitation de la Jacinthe d’eau
  • Aider au développement économique local de la ville de Macao après la coulée de boue par la production pluridisciplinaire de la Jacinthe d’eau, formation et création d’emploi.
  • Aide à la réinsertion des peuples Indigènes et des FARC.
  • Améliorer les conditions et infrastructures d’éducation scolaire, sportive et de santé des quartiers les plus touchés.
  • Accès à l’école pour tous les enfants, organisation périscolaire, soutien scolaire.

1er actions en Décembre 2017

Développement économique et social :

  • Rencontre avec les représentants de la ville de Bogota et Mocoa.
  • Création de l’antenne PSB Colombie pour une meilleur communication et logistique
  • Listing des besoins sociaux, éducatifs, sportifs  et sanitaires.
  • Présentation du projet de développement local de l’exploitation de la Jacinthe d’eau.
  • Sensibilisation dans les universités de Bogota et de la région de Putumayo de l’aide au développement et la dépollution par la Jacinthe d’eau.
  • Analyse des cours d’eau contaminé avant et après manipulation de la Jacinthe avec les autorités concernées.
  • Repérer les cours d’eaux et lacs pouvant accueuillir l’exploitation de la Jacinthe.
  • Cibler le quartiers le plus en dificultés de la ville de Mocoa pour une action concrète en 2018.

Actions de développement à venir courant 2018

Développement social :

Education :

  • Don de livres, manuels de cours, fournitures scolaires et des premières nécessités éducatives.
  • Mise en place d’un projet périscolaire et soutien scolaire.
  • Formation à l’exploitation de la Jacinthe d’eau et à la pérmaculture potager.
  • Sensibilisation dans les écoles de Mocoa du programme d’aide à l’éducation et au développement local
  • Dans l’attente de la premiere rencontre afin de lister aux mieux les besoins sur place.

Sport :

  • Don de ballon de football, volleyball, filets, chasubles, cônes et autres nécessités sportives.

Santé :

  • Don de matériel de santé, trousse de premier secours
  • Don de denrée alimentaire plus les plus démunis
  • Création d’une antenne santé locale pour accueillir les premiers soins gratuit pour les enfants
  • Distribution de cartons de vêtements pour les plus démunis.

Développement économique/ agricole:

  • Construction du local PSB colombie à Mocoa.
  • Construction et invetissement dans l’industrie de la Jacinthe d’eau
  • Aide à la diversification de l’agriculture, potagers pérmaculture
  • Don de materiels agricoles

Développement écologique :

  • Dépolution des cours d’eau de Colombie en partenariat avec les autorités.
  • Développement de l’exploitation de la Jacinthe dans tout le pays.
  • Développement de l’agriculture biologique permaculture.

Sensibiliser : (listing complet disponible)

  • médias : Cambio, Caracol radio/tv, El Espectator, El Pais, El periodico, El eclectico, Pacifista
  • Universités : ESAP, UNAL, UMNG, UNAD, Université de Bogota et de Putumayo
  • ONG : F. Maria Luisa de Moreno, F. Humanitas, F. Roca International, OPIAC

Soutien :

  • Organismes : ONU, Fédération Française de Football, Institut Fenelon
  • Communication : TV5 Monde
  • Entrprises :Green Keeper Africa, Balicco Entreprise, Peraline CA
  • Informations du projet 

– Budget prévisionnel 2017: …..euros

Pollution et déforestation au Venezuela.

La contamination de l’eau est une préoccupation environnementale majeure au Venezuela. Les rivières, les lacs et les aquifères souterrains sont de plus en plus pollués en raison du développement du pétrole, des déchets d’eaux usées non traitées et du ruissellement des engrais. Le lac Maracaibo, le plus grand lac du Venezuela, souffre d’une pollution accrue, et l’île de Margarita souffre de fréquentes pénuries d’eau, car la population de l’île dépasse la capacité de ses infrastructures à fournir de l’eau et à traiter les déchets. Selon les informations publiées, la compagnie pétrolière d’État, PDVSA, fait face à environ 1,5 milliard de dollars en passifs environnementaux. Nettoyage de 15 000 puits d’huile, qui collectent des boues contaminées à partir de puits de pétrole, coûterait 1 milliard de dollars. Les déversements périodiques ont endommagé la flore et la faune locales, avec des implications négatives pour la biodiversité et pour l’économie locale. Les préoccupations environnementales traditionnellement n’ont pas été un axe majeur de PDVSA, mais la société a maintenant adopté une politique environnementale et s’engage à classer la protection de l’environnement comme l’un de ses principaux objectifs. Il est maintenant en train de nettoyer les puits d’hydrocarbures les plus dangereux pour l’environnement, dont beaucoup s’infiltrent dans l’approvisionnement en eau du Venezuela.

La déforestation est un problème dans toute l’Amérique du Sud, et le Venezuela ne fait pas exception. Environ la moitié du pays est sous le couvert forestier. L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture a estimé que le Venezuela a perdu la couverture forestière à un taux deux fois plus élevé que le taux moyen pour l’Amérique du Sud tropical entre 1990 et 1995. Le Venezuela a perdu en moyenne 15% de ses 44 millions d’hectares de forêt ces 30 dernières années.                            Avec l’aide de la Banque mondiale, le gouvernement du Venezuela travaille à protéger sa réserve forestière d’Imataca de 3,6 millions d’hectares. Les forêts tropicales de la Réserve accueillent de nombreuses espèces et peuples autochtones uniques. Les groupes autochtones sont souvent entrés en conflit avec les entreprises minières et forestières, accusant les entreprises de dégrader leur environnement et leurs terres ancestrales.

Le plus grand pays pétrolier en très grande crise économique et écologique.

 Le Venezuela est le premier pays de réserve de pétrole au monde mais fait face à sa plus grande crise économique et social jamais connu. En plus d’une crise humanitaire proche faute de nourriture suffisante pour les vénézuéliens, de nombreux territoires, pourvu de puits de pétrole, sont contaminés et contamine de nombreux cours d’eau. 85% des réserves d’eaux du pays ce situe au Sud-Est et 15% sur le reste du Pays où vive 75% de la population. En plus de pénuries courante, c’est eaux sont souvent contaminés et la situation économique du pays empêche les investissements de dépollution des eaux courantes.  
                      

Objectifs :                             

  • Lutter contre les effets néfastes de l’activité de l’Homme.
  • Décontamination des cours d’eau, canalisation et piscine de rétention d’eau contaminé au Venezuela par l’exploitation de la Jacinthe d’eau
  • Aider au développement économique local par la production pluridisciplinaire de la Jacinthe d’eau, formation et création d’emploi.
  • Aide au développement et à l’éducation des peuples Indigènes.
  • Améliorer les conditions et infrastructures d’éducation scolaire, sportive et de santé des zones les plus touchés.
  • Développement de l’agriculture, diversification de l’agriculture, permaculture potager.

1er actions en Décembre 2017

Développement économique et social :

  • Rencontre avec les représentants de la ville de Caracas et Valencia.
  • Création de l’antenne PSB Venezuela pour une meilleure communication et logistique
  • Listing des besoins sociaux, éducatifs, sportifs  et sanitaires.
  • Présentation du projet de développement local de l’exploitation de la Jacinthe d’eau.
  • Sensibilisation à l’université de Caracas de l’amélioration de l’agriculture permaculture diversifier et de l’exploitation de la jacinthe d’eau
  • Développement de l’agriculture permaculture.
  • Analyse des cours d’eau contaminé avant et après manipulation de la Jacinthe avec les autorités concernées.
  • Repérer les cours d’eaux et lacs pouvant accueuillir l’exploitation de la Jacinthe.
  • Cibler les zones le plus en dificultés du pays pour une action concrète en 2018.

Actions de développement à venir courant 2018

Développement social :

Education :

  • Don de livres, manuels de cours, fournitures scolaires et des premières nécessités éducatives.
  • Mise en place d’un projet périscolaire et soutien scolaire.
  • Formation à l’exploitation de la Jacinthe d’eau et à la pérmaculture potager.
  • Sensibilisation dans les écoles de Caracas du programme d’aide à l’éducation et au développement local
  • Dans l’attente de la premiere rencontre afin de lister aux mieux les besoins sur place.

Sport :

  • Don de ballon de football, volleyball, filets, chasubles, cônes et autres nécessités sportives.

Santé :

  • Don de matériel de santé, trousse de premier secours
  • Don de denrée alimentaire plus les plus démunis
  • Création d’une antenne santé locale pour accueillir les premiers soins gratuit pour les enfants
  • Distribution de cartons de vêtements pour les plus démunis.

Développement économique/ agricole:

  • Construction du local PSB Venezuela à Caracas
  • Construction et invetissement dans l’industrie de la Jacinthe d’eau
  • Aide à la diversification de l’agriculture, potagers pérmaculture
  • Don de materiels agricoles

Développement écologique :

  • Dépolution des cours d’eau du Venezuela en partenariat avec les autorités.
  • Développement de l’exploitation de la Jacinthe dans tout le pays.
  • Développement de l’agriculture biologique permaculture.

Sensibiliser : (listing complet disponible)

  • médias : El Carabobeno, El Impulso, El Nacional, El Universal, Ultimas Noticias, VTV
  • Universités : UCV, IVIC, UPEL, UBV, UCAB univerisad publico Caracas
  • ONG : F. don Bosco, ALDEAS Infantiles, Esperanza de Venezuela, Agricultura del mondo

Soutien :

  • Organismes : ONU, Fédération Française de Football, Institut Fenelon
  • Communication : TV5 Monde
  • Entrprises :Green Keeper Africa, Balicco Entreprise, Peraline CA
  • Informations du projet 

– Budget prévisionnel 2017: …..euros